Sarko - boulot - dodo

youhou !!!
hihi !!
hahaha !
ohoho !

matez moi c'te gueule !

bon, bref, Cécilia laisse le Nico en rade, elle est bien bonne celle là :
http://www.lematin.ch/nwmatinhome/nwmatinheadactu/actu_monde/cecilia_demande_le.html

alala toutes des salopes...
de toute façon elle était bien trop grande pour lui !

Un ptit air de Terminator...

allez, comme vous aimez ça, les catacombes vous disent tout !!!

"


Encore une belle photo:


INFIDÈLE Le séducteur Nicolas Sarkozy a eu plusieurs maîtresses pendant son mariage avec Cécilia. Un des noms qui figure sur cette liste: Dominique Estrosi, adjointe au maire chargée de la politique de la ville de Nice. Photo © Keystone

«C'est une crise lourde»
NICOLAS SARKOZY Son beau-frère confirme que le couple pense au divorce

S'ils devaient se séparer maintenant, ce serait un désastre. Je n'imagine pas un divorce long, difficile et, en plus, médiatique.» Dans les colonnes du quotidien Le Parisien d'hier, Christian Ciganer, frère de Cécilia et ami proche de Nicolas Sarkozy, est affirmatif. «Cette crise est une crise lourde. Ma soeur m'a dit qu'elle avait besoin de temps pour prendre sa décision. Pour savoir ce qu'elle veut faire de son avenir», a-t-il ajouté. Dans les propos du frère de Cécilia, tout prouve que l'heure est grave et que la question du divorce est bel et bien d'actualité.

En dehors du Parisien, le reste des médias de l'Hexagone reste discret sur l'«affaire Cécilia». Mardi dernier, le quotidien FranceSoir soulevait l'affaire en titrant: «Le grand désarroi de Sarkozy». Mais, depuis, plus rien. Mis à part quelques éditorialistes et le chroniqueur du «Fou du roi», Guy Carlier, qui commentait, hier, sur les ondes de France-Inter: «Dans la téléréalité politique, Cécilia vient de quitter le «Loft»!» Jeudi soir, Nicolas Sarkozy avait pourtant rompu le silence en s'exprimant sur France 3, dans le «19-20». Les médias s'accordent pour relayer que le couple va mal. Mais jamais le mot divorce n'est prononcé. Et pas une ligne sur l'amant de madame ni sur la réputation de coureur de monsieur. Tout est dit à mots couverts. A coups d'euphémismes et de propos nuancés. En France, la relation entre Cécilia Sarkozy (47 ans) et Richard Attias (45 ans) semble être le secret le mieux gardé de la République. Le Tout-Paris est au courant, mais personne n'en parle. Pour connaître un peu plus de détails sur la suite du feuilleton Sarkozy, les Français n'ont plus qu'à se replier sur la presse francophone, qu'elle soit belge ou suisse.

Une des maîtresses de Sarko était au meeting de Nice
Pendant que Nicolas Sarkozy (50 ans) tente de rassurer le peuple français, Cécilia se promène dans les rues de la capitale au bras de son amant, Richard Attias. Jeudi après-midi, des témoins les ont même vus sortir d'un hôtel parisien proche des Champs-Elysées. Mais Sarko n'est pas blanc comme neige. Le président de l'UMP aime séduire, et Cécilia Sarkozy a obtenu les preuves de l'infidélité de son mari pendant leurs années de mariage. L'un des noms figurant sur la liste de ses maîtresses: Dominique Estrosi, l'épouse du président du Conseil général des Alpes-Maritimes, Christian Estrosi. Ironie du sort: Dominique, adjointe au maire chargée de la politique de la ville de Nice, était aux côtés de Nicolas Sarkozy au meeting pour la défense du oui au référendum sur la Constitution européenne, mardi dernier à Nice. Par contre, aucune trace de Cécilia. Selon des témoins, il n'y aurait eu aucun geste ambigu entre Nicolas et sa présumée maîtresse. Peut-être parce que son mari était également présent...

Mais comment Nicolas Sarkozy faisait-il pour rencontrer ses maîtresses, alors que Cécilia gérait son agenda en tant que chef de son cabinet? Selon des sources proches du président de l'UMP, Sarko s'octroyait quelques heures de jogging par-ci par-là. Notamment dans le parc Monceau, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur. Et il n'aurait pas fait que courir pendant ces moments-là!

© Le Matin Online

qu'est ce que c'est que cette médiatisation à outrance?
on n'est pas aux états unis ici...

franchement, on n'en à rien à faire que le couple sarko soit en crise, et de toute façon, ça ne regarde qu'eux.

tout faux: c'est quasi pas médiatisé de un ; et on s'en fout pas de deux: c'est très mauvais pour l'image de Sarko et à moins que tu ne le veuilles pour président, tant mieux si l'affaire fait surface.

Totoro Hime a écrit:

qu'est ce que c'est que cette médiatisation à outrance?
on n'est pas aux états unis ici...

franchement, on n'en à rien à faire que le couple sarko soit en crise, et de toute façon, ça ne regarde qu'eux.

d'une part c'est pas du tout médiatisé, vu qu'aucun journaliste en France n'a envie d'être ma lvu par le futur président Sarko. Seule la presse étrangère en parle.
D'autre part, la médiatisation à outrance dont tu parles, c'est Sarkozy qui l'a impulsée en exposant plus qu'aucun autre homme politique français sa famille, justement, comme il l'a dit, à l'américaine. Vu que les journalistes lui ont donné plus de tribunes qu'il n'en faut pour passer pour le bon père de famille, il serait de leur devoir de rétablir l'équilibre en en montrant aussi les côtés sombres. Mais non, ici, un mec comme Sarko a le beurre et l'argent du beurre, et il se trouve encore des gens pour trouver ça normal ...

sans compter qu'il va se retrouver premier ministre !

raté! c'est Vile Pine. Pöuark beurk reuh.

Citation :

Sarkozy à l'Intérieur pour protéger sa famille
pix
Son retour place Beauvau lui permettrait «d'éviter les coups tordus montés contre lui».

Par Antoine GUIRAL et Didier HASSOUX et Thomas LEBEGUE
pix
jeudi 02 juin 2005 (Liberation - 06:00)
pix
pix

devant plusieurs dizaines de personnes, hier matin, Nicolas Sarkozy a confirmé que sa réapparition place Beauvau ne devait rien au hasard. Lors du traditionnel petit déjeuner organisé par Edouard Balladur dans une annexe de l'Assemblée, le président de l'UMP a laissé entendre que la reprise en main des services de renseignement était une condition sine qua non de son accession à l'Elysée en 2007. «Il nous a dit que son retour à l'Intérieur lui permettrait de reprendre la DST et d'éviter les coups tordus montés contre lui», raconte un participant. Plus tard, le nouveau ministre de l'Intérieur débarque au siège de l'UMP pour expliquer aux membres de la commission exécutive les raisons de son entrée au gouvernement. Face à 80 personnes, dont nombre de chiraquiens, il met les pieds dans le plat en évoquant «des officines qui, depuis six mois, ont pris [sa] famille pour cible». En reprenant le contrôle de la place Beauvau, il assure pouvoir mettre fin «à ce type d'opérations» de déstabilisation. Ce franc-parler qui sidère l'auditoire ne s'arrête pas là. Sarkozy assure que sa collaboration avec Villepin ne l'empêchera pas d'être candidat en 2007. A nouveau, il expose son souhait de «ne pas rester en dehors de l'action». En prenant soin de préciser, selon un élu, que «l'Intérieur ne l'impliquait pas dans les éventuels échecs» du gouvernement.

Au ministère, les permanents s'amusent de ce chassé-croisé Villepin-Sarkozy, d'autant que les deux hommes se sont déjà retrouvés au centre d'une série de coups tordus (Libération d'hier). «Les conseillers de Villepin ont monté des sacs de sable, témoigne un haut fonctionnaire. Mais Sarko et Guéant [son directeur de cabinet] ne garderont personne. Ils ont déjà annoncé leur intention de passer le cabinet au Kärcher.» Pour le renseignement, mais pas seulement. Car le patron de Beauvau a la haute main sur le processus électoral : il découpe des circonscriptions, fixe les dates des scrutins, proclame les résultats... A la fois ministre de l'Intérieur et patron de l'UMP (accordant les investitures), il donc va truster toute la chaîne électorale. Les socialistes s'inquiètent de l'ampleur de ce «périmètre». Pour son prédécesseur, Daniel Vaillant, il s'agit «d'une dangereuse dérive». Pour Jean-Marc Ayrault, c'est «un problème d'éthique républicaine». Mais l'éthique n'a pas grand-chose à voir avec ce jeu de chaises ministérielles.

Citation :

Sarkozy à l'Intérieur pour protéger sa famille
pix
Son retour place Beauvau lui permettrait «d'éviter les coups tordus montés contre lui».

Par Antoine GUIRAL et Didier HASSOUX et Thomas LEBEGUE
pix
jeudi 02 juin 2005 (Liberation - 06:00)
pix
pix

devant plusieurs dizaines de personnes, hier matin, Nicolas Sarkozy a confirmé que sa réapparition place Beauvau ne devait rien au hasard. Lors du traditionnel petit déjeuner organisé par Edouard Balladur dans une annexe de l'Assemblée, le président de l'UMP a laissé entendre que la reprise en main des services de renseignement était une condition sine qua non de son accession à l'Elysée en 2007. «Il nous a dit que son retour à l'Intérieur lui permettrait de reprendre la DST et d'éviter les coups tordus montés contre lui», raconte un participant. Plus tard, le nouveau ministre de l'Intérieur débarque au siège de l'UMP pour expliquer aux membres de la commission exécutive les raisons de son entrée au gouvernement. Face à 80 personnes, dont nombre de chiraquiens, il met les pieds dans le plat en évoquant «des officines qui, depuis six mois, ont pris [sa] famille pour cible». En reprenant le contrôle de la place Beauvau, il assure pouvoir mettre fin «à ce type d'opérations» de déstabilisation. Ce franc-parler qui sidère l'auditoire ne s'arrête pas là. Sarkozy assure que sa collaboration avec Villepin ne l'empêchera pas d'être candidat en 2007. A nouveau, il expose son souhait de «ne pas rester en dehors de l'action». En prenant soin de préciser, selon un élu, que «l'Intérieur ne l'impliquait pas dans les éventuels échecs» du gouvernement.

Au ministère, les permanents s'amusent de ce chassé-croisé Villepin-Sarkozy, d'autant que les deux hommes se sont déjà retrouvés au centre d'une série de coups tordus (Libération d'hier). «Les conseillers de Villepin ont monté des sacs de sable, témoigne un haut fonctionnaire. Mais Sarko et Guéant [son directeur de cabinet] ne garderont personne. Ils ont déjà annoncé leur intention de passer le cabinet au Kärcher.» Pour le renseignement, mais pas seulement. Car le patron de Beauvau a la haute main sur le processus électoral : il découpe des circonscriptions, fixe les dates des scrutins, proclame les résultats... A la fois ministre de l'Intérieur et patron de l'UMP (accordant les investitures), il donc va truster toute la chaîne électorale. Les socialistes s'inquiètent de l'ampleur de ce «périmètre». Pour son prédécesseur, Daniel Vaillant, il s'agit «d'une dangereuse dérive». Pour Jean-Marc Ayrault, c'est «un problème d'éthique républicaine». Mais l'éthique n'a pas grand-chose à voir avec ce jeu de chaises ministérielles.

toujours dans la série : "l'irrésistible ascension de monsieur S. " :

Citation :

Nicolas Sarkozy aurait déjà fixé la fin de son "bail" à Beauvau
[2005-06-04 12:07]

PARIS (Reuters) - A peine installé place Beauvau, Nicolas Sarkozy aurait déjà fixé la fin de son bail au ministère de l'Intérieur, évoquant son désir de "prendre de l'air" fin 2006, écrit Le Monde.

Cette attitude s'expliquerait par la crainte de subir le discrédit d'un gouvernement de "collaborateurs" de Jacques Chirac dont il serait le seul "homme politique", avant la présidentielle de 2007, ajoute le quotidien, daté du 5 juin.

"Fin 2006, il faudra sans doute que je prenne de l'air", aurait confié le numéro 2 du gouvernement dans l'avion qui le conduisait vendredi à Perpignan.

Nicolas Sarkozy aurait senti lors de son entretien, le 30 mai avec Jacques Chirac, que le chef de l'Etat "ne consentait pas à perdre le pouvoir".

"Tous mes amis me disaient 'c'est Matignon ou rien'. J'ai vu la possibilité d'une troisième solution. Cela faisait de moi une victime de Chirac et j'augmentais mon socle de popularité", aurait-il ajouté.

Jeudi, son entourage soulignait que Nicolas Sarkozy avait choisi de revenir au ministère de l'Intérieur pour "rester dans l'action" et préserver l'unité de la majorité.

"L'intérêt de la place Beauvau est lié en premier lieu au fait que les Français veulent le revoir dans l'action", expliquait-on en citant un sondage Ipsos.

L'autre argument avancé était le souci de "préserver l'unité de la majorité", une démarche permettant de démentir l'idée selon laquelle le président de l'UMP ne serait porté que par sa seule ambition.

Selon plusieurs médias, dont Libération, Nicolas Sarkozy aurait également affirmé mercredi devant des élus UMP que sa collaboration avec Dominique de Villepin ne l'empêcherait pas d'être candidat en 2007.

Il aurait pris soin de préciser que son poste à l'Intérieur ne l'impliquerait pas dans les éventuels échecs du gouvernement.

moi je suis d'accord avec Totoro. un potin, c'est un potin. feriez-mieux d'aller chercher un vrai travail, faignants

On est d'accord,mais certains popotins sont quand même plus réjouissants que d'autres.
Villepin a un petit cul musclé pour son âge.MMMMMMMMMMMMMMMM

je savais bien que le catch était un sport d'homosexuels...

Sinouhé a écrit:

On est d'accord,mais certains popotins sont quand même plus réjouissants que d'autres.
Villepin a un petit cul musclé pour son âge.MMMMMMMMMMMMMMMM

beeeuuuurrrrk!
mais qu'est-ce que tout le monde lui trouve à villepin haut les mains peau de lapin?

cok6 a écrit:

je savais bien que le catch était un sport d'homosexuels...

Bien balancé,demande à Regis ou Iv ce qu'ils en pensent...

Totoro Hime a écrit:

Sinouhé a écrit:

On est d'accord,mais certains popotins sont quand même plus réjouissants que d'autres.
Villepin a un petit cul musclé pour son âge.MMMMMMMMMMMMMMMM

beeeuuuurrrrk!
mais qu'est-ce que tout le monde lui trouve à villepin haut les mains peau de lapin?

C'(est un peu le Kenedy du vieux continent,il est quand même bien gaulé le bougre!